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Publié le 09 avril 2018
Piqué au système coopératif depuis sa première expérience professionnelle, Arnaud Georgin est aujourd’hui propriétaire de 7 bijouteries au sein du réseau Synalia. Agé de 48 ans, il est également très impliqué au sein de la coopérative mais aussi dans la vie de sa collectivité. Il revient pour nous sur ses motivations et convictions.

Pourquoi avoir choisi le système

Terme générique désignant le mouvement coopératif, en particulier le commerce coopératif, mais aussi l’ensemble des formes d’organisation qui utilisent ce statut juridique : coopérative bancaire, agricole, artisanale, de production, de salariés, de transporteurs, maritimes, ou encore de commerçants.

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J’ai intégré il y a quinze ans le réseau E.Leclerc, par pur hasard. Cette première expérience m’a permis de gravir rapidement les échelons et de me convaincre de franchir une autre étape, et pas la moindre, celle de devenir propriétaire de mon/mes propres magasins. L’occasion s’est offerte par le biais familial. Mon oncle détenteur d’une bijouterie Julien D’Orcel à Sedan souhaitait transmettre son affaire. J’ai donc saisi l’opportunité et ai travaillé à ses côtés durant un an pour apprendre les ficelles du métier.
Je me suis très vite pris au jeu et ai racheté presque chaque année une bijouterie. Huit ans plus tard, me voilà détenteur de 7 magasins dont trois sous enseignes Julien D’Orcel.

Quelle est votre implication au sein du groupement ?
Je suis membre depuis trois mois de la commission Julien d’Orcel. Elle permet d’échanger entre pairs sur les problématiques de l’enseigne que cela relèvent des produits référencés, des campagnes de communication, de la vente en ligne … Chaque associé présent s’est porté volontaire et peut être membre de la commission durant 6 ans s’il le souhaite (3 ans renouvelable une fois). Une durée de mandat idéale permettant à la fois d’insuffler régulièrement de nouvelles idées par le renouvellement des sociétaires et d’avancer de manière approfondie et totalement impliquée sur un projet.
A mon sens, ces commissions matérialisent les forces de notre système coopératif que sont celles du partage, de la mutualisation et de l’implication. Elles nous permettent d’échanger entre adhérents et cadres de la centrale sur des problématiques précises, sans censure. Ces rencontres sont pour moi un véritable enrichissement personnel et les décisions qui en découlent sont au profit de l’ensemble des adhérents du groupement.

Comment envisagez-vous ces prochaines années ?
Je souhaiterais poursuivre mon implication au sein du réseau, continuer de porter la parole des autres associés auprès de la centrale afin que les décisions prises ou orientations votées puissent être le reflet de nos besoins et de ceux de nos consommateurs.
D’un point de vue plus personnel, j’envisage de moderniser certains de mes magasins et notamment de passer sous enseigne Julien D’Orcel mes points de vente dits « partenaires ». Se remettre en question, faire bouger les lignes, aller continuellement de l’avant, voilà ce que je recherche et que j’ai pleinement trouvé dans le réseau coopératif qu’est Synalia.

Julien d'Orcel Magasin


>> Pour en savoir plus sur l’enseigne Julien d’Orcel