Alexandra Bouthelier est intervenue sur BFM TV pour évoquer la position des commerces face à d’éventuelles nouvelles restrictions en cette fin d’année

Publié le : 1 décembre 2021

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Alexandra Bouthelier, déléguée générale de la FCA était l’invitée de Bruce Toussaint sur le plateau du Live BFM TV mercredi 1er décembre, avant le lancement des Assises du Commerce.

Alors que l’apparition d’un nouveau variant et l’augmentation du nombre de contaminations au COVID laissent planer le doute sur la dernière ligne droite de l’année, notamment en matière de restrictions pour les commerces, Alexandra Bouthelier, déléguée générale de la FCA était l’invitée de Bruce Toussaint sur le plateau du Live BFM TV mercredi 1er décembre, avant le lancement des Assises du Commerce.

Interrogée sur la position des commerces et leurs éventuelles inquiétudes face à une situation incertaine, elle a indiqué qu’ « au niveau des commerces, nous ne sommes pas inquiets, nous sommes plutôt interrogatifs face à la situation. Lors de la première session de vaccination le commerce avait été solidaire ».

Questionnée sur les mesures les moins contraignantes pour les commerces, notamment la jauge instaurée dans les magasins pour limiter le nombre de clients, elle a précisé que « la jauge est probablement la méthode la mieux comprise, la moins impactante parmi les mesures que nous avons connues jusqu’ici, mais l’important c’est surtout d’être informé en amont ».

Une notion d’information essentielle pour permettre aux commerces de pouvoir s’adapter suffisamment tôt et prendre les mesures nécessaires pour accueillir les clients et ne pas subir un impact trop important pour leur activité. Autre mesure mise en place ces derniers mois, le pass sanitaire, pour lequel l’application avait été relativement difficile dans les premières semaines : « En ce qui concerne le pass sanitaire, la communication doit être claire. En septembre dernier, il y avait eu une baisse de la fréquentation de 30 à 40 % à l’annonce de l’instauration du pass sanitaire et le flou tant pour les commerçants que pour les consommateurs ».

Avant de conclure : « Une communication claire et le fait de pouvoir anticiper sont les deux mesures minimums que nous demandons aujourd’hui ».