Quelle forme de commerce ?

Il existe plusieurs manières d’organiser l’activité commerciale et les réseaux de points de vente. On distingue notamment 3 formes de commerce principales : le commerce intégré ou succursaliste, le commerce indépendant « isolé » et le commerce indépendant organisé, comme le Commerce Coopératif et Associé. Quelle sont ces formes de commerce ? Quelle forme de commerce choisir ?

Le commerce indépendant organisé

Le commerce indépendant organisé est une forme de commerce qui emprunte la force de l’entrepreneuriat indépendant et les effets de puissance des réseaux.

On trouve au sein du commerce indépendant organisé d’autres types d’organisation de réseaux qui sont en général des variantes de ces deux formes majeures : chaînes volontaires, concessions, commissions-affiliations, licences de marque…

  • Le Commerce coopératif et associé

    C’est une forme de commerce en réseau organisé et contrôlé par des commerçants indépendants propriétaires des points de vente. Ils se sont associés au sein d’un groupement pour mutualiser leurs moyens et développer des politiques communes : achat, enseigne, opérations commerciales, services… La structure centrale ainsi constituée est la propriété du réseau.

  • La franchise

    C’est une forme de commerce en réseau organisé par une entreprise, « le franchiseur », qui concède contractuellement sa marque, son concept et un savoir-faire à d’autres entreprises indépendantes appelées « franchisées ».

Les atouts du
Commerce coopératif et associé

Indépendance
Mutualisation
Collectif

Devenir son propre patron tout en bénéficiant de la force et de la notoriété d’un réseau national

Rejoindre un réseau de commerce indépendant organisé permet à l’entrepreneur d’être seul responsable de son activité commerciale et de son bon fonctionnement.

Cette indépendance permet à chaque adhérent de cette forme de commerce de s’adapter aux exigences et aux attentes locales et régionales et de bénéficier de tous les avantages qu’apporte un réseau implanté sur l’ensemble du territoire (services mutualisés, groupes de travail, commissions spécifiques, facilités bancaires…).

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Bénéficier de services et moyens mutualisés

Cette forme de commerce, le réseau coopératif, propose à ses adhérents entrepreneurs une multitude de services : centrale d’achat et de référencement, outils de marketing, de gestion et de communication, assistance comptable, informatique, formations…

Rejoindre un groupement coopératif présente l’avantage de pouvoir échanger avec d’autres chefs d’entreprises qui partagent la même vision de leur métier et les mêmes problématiques professionnelles au quotidien, favorisant le partage d’expérience.

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Indépendant mais jamais seul

Le Commerce Coopératif et Associé permet à l’entrepreneur qui rejoint le réseau de pouvoir gérer en toute indépendance et autonomie son point de vente. Régulièrement présent dans des réunions, groupes de travail ou commissions à l’échelle locale, régionale ou nationale, il participe activement à la vie du réseau et contribue directement au développement de ce dernier, et donc, par conséquent, de son propre commerce.

L’entrepreneur n’est jamais isolé : il est accompagné en permanence par le réseau, échange régulièrement avec ses pairs et partage expérience, savoir-faire et moyens.

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Les groupements et les enseignes du Commerce coopératif et associé

Alimentation, hôtellerie, sport, immobilier, optique, bâtiment, santé, loisirs… Le Commerce coopératif et associé est présent dans plus de 30 secteurs d’activité.

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Les autres formes de commerce

  • Le commerce intégré ou succursaliste

    Cette forme de commerce se compose de réseaux de points de vente contrôlés par un groupe, qui appartient à une famille, des investisseurs ou divers actionnaires (boursiers ou non). Les points de vente sont dirigés par des salariés du groupe.

  • Le commerce « indépendant isolé »

    Dans cette forme de commerce, le point de vente est détenu par un commerçant indépendant qui n’est affilié à aucun réseau. Bien souvent, ces magasins ne portent pas d’enseigne. A partir de 2 points de vente détenus, il est possible de considérer que le commerçant développe un « mini-réseau » succursaliste.